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bannière Opération Némésis

EN DÉCEMBRE, SEA SHEPHERD LANCE L’OPÉRATION NÉMÉSIS ET MET LE CAP SUR L’ANTARCTIQUE POUR LA 11ÈME FOIS DE SON HISTOIRE.

Némésis fille de l’Océan, est la déesse de la « colère juste », vengeresse des crimes et restauratrice d’équilibre.

Les braconniers japonais, mercenaires de l’industrie baleinière d’un des pays les plus puissants du monde - le Japon - condamné pour sa chasse illégale par :
- la Cour Internationale de Justice de la Haye,
- la Cour Fédérale australienne,
- la Commission baleinière internationale,
- l’opinion publique internationale,
traqueront impunément de décembre à mars les 333 baleines qu’ils se sont autorisés à tuer dans le sanctuaire en violation :
- du moratoire international sur le commerce de viande de baleine,
- du traité de l’Antarctique
- de toutes les conventions internationales de protection des mammifères marins.

Ce qui a changé du côté
des baleiniers japonais :
Ce qui a changé du côté
de  Sea Shepherd :

Suite à sa condamnation en 2014 par la Cour Internationale de Justice et en réaction à une décennie de traque par nos navires, le Japon a modifié son pseudo programme scientifique. Il a divisé le nombre de baleines visées chaque année, passant de 1050 à 333 – « reconductibles » sur 12 ans.
Autrement dit, toute baleine que nous sauverons cette année, sera dans le curseur des baleiniers l’année prochaine et pour les 12 prochaines années.
La flotte baleinière a également multiplié par deux la superficie de sa zone de chasse, rendant leur repérage plus difficile pour nos navires et facilitant leur fuite.

Un nouveau navire, l’Ocean Warrior, que nous avons pu faire construire grâce au plus gros don jamais octroyé à Sea Shepherd : 8 millions d’euros de la part de la loterie Néerlandaise.
Ce navire nous donne pour la toute première fois, la vitesse et l’autonomie suffisantes pour rattraper et/ou distancier les navires harponneurs, extrêmement rapides.
Le Steve Irwin, navire amiral de notre flotte sera mobilisé pour assister l’Ocean Warrior mais nos autres navires, le Bob Barker et le Sam Simon, seront mobilisés sur d’autres missions.

 

La plus onéreuse et la plus difficile de toutes nos missions.

Du fait de leur très longue durée et de l’importante superficie à couvrir, les missions de défense des baleines en Antarctique ont toujours été les plus difficiles à mettre en œuvre et à financer.
- 4 mois de chasse, soit un maximum de 120 jours de patrouilles journalières
- 8000 euros par jour...
pour alimenter en carburant l’Océan Warrior (moteurs hybrides) et le Steve Irwin pour assurer une présence active 24/24 et 7j/7 dans le sanctuaire.

 

LES BALEINES NE PEUVENT COMPTER QUE SUR NOS NAVIRES ET NOUS NE POUVONS COMPTER QUE SUR VOUS !

Aucun gouvernement signataire du sanctuaire baleinier - dont la France est à l’initiative - ne nous aide à le protéger, mais grâce à vos dons, le gouvernement français peut participer à la défense effective des baleines.
Vos dons sont déductibles fiscalement à hauteur de 66% de leur valeur. Ainsi, après déduction, un don de 100 euros ne vous revient qu’à 34 euros.